En route vers la Terre de Feu

On sort du bus après finalement bien 21h de route mais tout confort…tout droit tout plat et la Pampa à perte de vue. Les garçons ont bien dormi et nous venons de rejoindre notre petite habitacione .

Il fait un temps magnifique et pas froid pour l’instant.

On est à Puerto Madryn, c’est le début de la Patagonie. On est encore loin de la Terre de Feu. On est venu pour essayer de voir des baleines qui viennent faire leurs bébés ici.

Direction Patagonie

Après quelques tergiversations nous décidons de descendre en Patagonie, nous arriverons à priori à l’ ouverture des routes vers le grand Sud. Demain nous prenons un premier bus ( 19 h de route ) pour rejoindre la péninsule Valdès …

Buenos Aires

Quartier de San Telmo, berceau du tango, sillonné de rues pavées où s alignent vieilles maisons et antiquaires

La réserve écologique en plein coeur de la ville. Il y a plein de gros ragondins qui ressemblent plus à des castors, des iguanes et des oiseaux multicolores

 

Le cimetière de Recoleta ( l’équivalent de notre père Lachaise)

 Palermo

 

Dernière journée à Buenos Aires et l’ inévitable quartier de la Boca

 

Fin de notre épisode uruguayen

Colonia Di Sacramento ! Cette ville de  » pirates et de vieux tacots  » comme disent les garçons, marque la fin de notre épisode Uruguayen …en soirée nous sauterons dans un bateau, traverserons le Rio de la Plata pour débarquer dans un nouveau pays et une nouvelle capitale ….

Toutes les photos….

Tableau de Carlos Paez Vilaro, Casapueblo.

Le chat est un animal singulier, jamais là où on l’attend. Tranquillement, il envisage le monde avec la curiosité et l’instinct du chasseur, proposez lui un carton fermé et il s’ y engouffre.
Alors quand quatre chats que personne n’attend, quand quatro gatos si différents deviennent pluriels, que chassent ils ?
Carlos Paez Vilaro depuis son accueillante Casapueblo et tout les uruguaychos nous ont donné la réponse.
L’aventure? Un peu, bien-sûr.
Du dépaysement? Oui comme tout bon voyageur mais les yeux du chat possèdent déjà ce filtre.
Mais quoi donc ? La solitude ? Quand il y a dans un seul lieu, tant de ciel et tant de mer pour si peu de gens , assurément non .
Un foyer ? Non plus, même si certains paniers bien douillets ou exotiques nous tendaient les bras.
Les chats virevoltent (arabesques et entrechats), après la liberté : liberté d’esprit, de traits, de mouvements.
Cette liberté, le chat Uruguay écrasé entre ses deux géants voisins, il l’exalte, la transpire .

Voila pourquoi quatre chats en Uruguay, pays de fromages, de vins, de Peugeots et de liberté, se sont sentis chez eux.